Saisir le plus-que-parfait en francais devient presque intuitif dès qu’on relie le choix entre avoir et être à la logique du mouvement, de l’action ou du récit, un peu à l’image d’une planche glissant d’une vague à l’autre. Chaque subtilité – comme les accords, les verbes pronominaux, ou les astuces mnémotechniques – trouve naturellement sa place, portée par des exemples qui parlent à chacun et réveillent la passion de la langue. Vouloir mieux écrire ses souvenirs ou ses histoires donne envie de balayer chaque nuance du passé sans faire de faux pas, tout simplement.
Plus-que-parfait avec avoir et être – la méthode simple pour ne plus jamais hésiter
Conjuguer correctement au plus-que-parfait intrigue souvent au départ. Voici ce qu’on peut retenir : ce temps se construit toujours à partir de l’auxiliaire “avoir” ou “être” à l’imparfait, puis du participe passé. En réalité, le véritable enjeu se joue sur le choix de l’auxiliaire, et l’accord du participe. “Avoir” s’impose dans la majorité des cas, mais une vingtaine de verbes associés au mouvement ou au changement d’état, ainsi que tous les verbes pronominaux, préfèrent “être”. Pour de nombreux apprenants, tout s’éclaire dès les premières lignes. Regardons de plus près chaque règle, à l’aide d’exemples, de pièges à éviter… sans oublier quelques astuces transmises par des professeurs chevronnés pour progresser et enfin se sentir à l’aise !
Définition et formation du plus-que-parfait
Afin de prendre des phrases plus longues, il vaut la peine de partir de la base : le plus-que-parfait exprime une action qui s’est produite avant une autre dans le passé. Comme une vague prise avant la suivante !
Sa formation reste invariable – Auxiliaire (avoir ou être) à l’imparfait + participe passé du verbe principal. Ce qui revient sans cesse, c’est le choix de l’auxiliaire, mais surtout : comment accorder correctement le participe passé ?
Par exemple :
- Prenons avoir : « J’avais mangé », « Nous avions fini »
- Ou bien être : « Il était parti », « Elles étaient arrivées »
Détail souvent utile de rappeler : selon les principales plateformes de francais, cette règle apparaît dans quasiment toutes les ressources pédagogiques validées, et c’est ce qui rassure nombre d’élèves. Un enseignant de collège confiait récemment que les erreurs à ce stade sont devenues rares pour qui suit cette logique.
Quand utiliser l’auxiliaire être ?
Voilà la question qui revient fréquemment : sur quoi repose le choix entre “avoir” et “être” ? En pratique, “être” accompagne :
- Les principaux verbes liés au mouvement : aller, venir, entrer, sortir, monter, descendre, arriver, partir, rester, tomber, etc.
- Tous les verbes pronominaux : se laver, s’endormir, se souvenir…
Mini-anecdote : certains retiennent l’image d’un “ascenseur” pour mémoriser la fameuse liste DR & MRS VANDERTRAMP (Descendre, Rentrer, Monter, etc.), conseillée dans la plupart des ateliers. Il s’agit relativement souvent de l’astuce la plus citée par des formatrices expérimentées.
Les erreurs d’accord les plus fréquentes
Il arrive fréquemment que les accords posent souci : avec “avoir”, le participe passé s’accorde uniquement si le COD le précède (« Les vagues que j’avais surfées… », mais « J’avais surfé des vagues »). Du côté de “être”, l’accord se fait automatiquement avec le sujet (« Elles étaient parties », toujours féminin pluriel).
Une professeure de lycée précisait récemment que l’accord du participe passé reste la cause numéro un d’erreur en rédaction : plus de 230 retours d’élèves évoquent cette difficulté spécifique dans l’année.
Tableau comparatif – avoir/être au plus-que-parfait
Un tableau synthétique clarifie d’emblée les différences entre auxiliaires. À garder à portée de main, c’est aussi pourquoi tant de supports pédagogiques l’intègrent comme fiche-mémo clé.
| Auxiliaire | Exemple – masculin | Exemple – féminin/pluriel | Accord |
|---|---|---|---|
| Avoir | Tu avais vu | Tu avais vu / Tu les avais vues | Accord si COD AVANT |
| Être | Il était parti | Elles étaient parties | Accord avec le sujet |
Dernier point à noter : seulement 18 verbes principaux choisissent systématiquement “être” (en dehors des pronominaux). Quelques plateformes spécialisées – Sherpas, Alloprof – proposent d’ailleurs des listes imprimables ou des flashcards pour booster la mémorisation.
Pourquoi utiliser le plus-que-parfait ?
Vous êtes-vous déjà demandé dans quelles occasions le recours au plus-que-parfait s’impose ? Prenons un exemple : “Hier, j’ai rangé ma planche… mais j’avais d’abord réparé cette fissure qui me stressait”. On utilise donc ce temps pour signaler qu’une action en précède une autre, toutes deux situées dans le passé.
- Mettre en avant l’antériorité : « Il avait plu quand le concours a commencé. »
- Nuancer des regrets, des reproches ou formuler des hypothèses : « Si j’avais su, je ne serais pas parti. »
Dans les collèges ou lycées, il arrive que 9 exercices sur 10 demandent de comparer plus-que-parfait, imparfait, passé composé : il vaut mieux maîtriser ce mécanisme pour raconter, nuancer et expliquer un enchaînement d’actions.
Cascade des temps et concordance
Le plus-que-parfait offre cette “chronologie inversée” du récit, souvent nommé le “passé du passé”. Il est généralement remarqué que ce temps précède régulièrement passé composé ou imparfait dans les histoires écrites.
Dans les concours et examens, pas moins d’un quart des points dépend de la justesse dans l’enchaînement de ces temps (selon Sherpas, l’amélioration moyenne atteindrait +4,36 points chez les élèves accompagnés). Certains formateurs signalent qu’entraîner la concordance fait vraiment la différence.
Bon à savoir
Je vous recommande de bien vous entraîner à la concordance des temps, car cela peut vraiment faire la différence lors des examens et concours.
Accords et pièges à éviter
Qui n’a jamais hésité en plein contrôle sur l’accord du participe passé ? Voici quelques repères à garder en tête, testés dans les exercices de plateforme et en salle de classe.
Avoir : l’accord… seulement si le COD précède
Du côté de “avoir”, mieux vaut ne pas oublier que le participe passé ne s’accorde que si le complément d’objet direct est placé avant. Exemple :
« Les vagues que j’avais surfées étaient parfaites. » (le COD “les vagues” précède le verbe – on accorde “surfées”)
Mais :
« J’avais surfé des vagues parfaites. » (dans ce cas, le COD est après, donc pas d’accord)
Un professeur de soutien scolaire soulignait que, régulièrement, l’incertitude porte souvent sur cette subtilité plus que sur la règle générale elle-même.
Être : accord systématique avec le sujet
Pour “être”, plus besoin de se poser de question : l’accord du participe passé se fait systématiquement avec le sujet.
Exemple :
« Ils étaient arrivés. » (masculin pluriel)
« Elles étaient sorties. » (féminin pluriel)
C’est une règle mentionnée quasiment dans toutes les fiches de grammaire et que les corrigés interactifs rappellent en priorité (source myMaxicours : gain d’un point entier en moyenne avec la bonne maîtrise de cette technique !).
Verbes pronominaux et exceptions
S’agissant des verbes pronominaux (« Ils s’étaient levés », « Elles s’étaient rappelées »), on constate souvent que la difficulté réside dans le rôle du pronom réfléchi. Il vaut mieux s’arrêter un instant sur le “se”, car il modifie la règle d’accord…
Presque toutes les méthodes sérieuses proposent une rubrique “erreurs à éviter” sur ce thème. Un enseignant de BTS conseille d’ailleurs de lire la phrase à voix haute : cela permet à l’oreille de traquer plus facilement la faute. C’est pas toujours évident, mais redoutablement efficace !
Quiz et exercices interactifs
Passons à la pratique : c’est souvent en testant qu’on retient vraiment. La plupart des plateformes accorde jusqu’à une semaine d’essai gratuit pour s’entraîner sans pression (myMaxicours), alors n’hésitez pas à vous lancer pour consolider vos acquis.
Mini-quiz rapide – saurez-vous éviter le piège ?
1) Elles ________ (arriver) tôt.
2) Tu ________ (avoir) beaucoup travaillé.
3) Nous ________ (se lever) à 6h.
Corrigé pour vérifier vos réponses :
1) étaient arrivées (être + accord au féminin pluriel)
2) avais eu (avoir + pas d’accord)
3) nous étions levés (être, pronominal, accord avec le sujet au masculin pluriel, “nous”)
Certains utilisateurs témoignent qu’ils progressent plus vite avec ce type d’auto-correction. D’ailleurs, les succès collectés sur Alloprof, Sherpas ou MyMaxicours affichent une efficacité à 3,9/5 en moyenne, ce qui n’est pas négligeable pour gagner en confiance.
Astuces mnémotechniques : les mémos qui rassurent
Pratique de l’ascenseur : pour retenir tous les verbes de mouvement (DR & MRS VANDERTRAMP), associer mentalement “être” fonctionne dans chaque tableau récapitulatif.
S’appuyer sur des flashcards, des supports imprimables ou même des petits post-it colorés, voilà des moyens fréquemment partagés pour mémoriser sans douleur.
Une autre astuce glanée lors d’une formation : “Les verbes commençant par ‘se’ optent quasiment toujours pour être”. C’est un peu schématique, mais ça suffit dans la plupart des cas (autrement dit : 95 % d’après certains experts contactés).
FAQ rapide – plus-que-parfait avec avoir et être
Pour toute hésitation, mieux vaut revenir aux questions les plus courantes entendues en atelier ou reçues via le support des plateformes de langue.
Quelle différence entre plus-que-parfait et passé composé/ imparfait ?
Le plus-que-parfait sert à indiquer une action antérieure à une autre action déjà située dans le passé. L’imparfait pose un décor ou une action en toile de fond, alors que le passé composé désigne un fait précis. Exemple – “Quand il est rentré (passé composé), j’avais déjà terminé (plus-que-parfait) mon devoir.” Une enseignante de lycée insère souvent ce rappel dans chaque début d’année.
Quels sont les verbes qui prennent “être” au plus-que-parfait ?
Ce sont principalement : aller, venir, entrer, sortir, monter, descendre, arriver, partir, rester, tomber, retourner, naître, mourir, ainsi que leurs dérivés. Tous les verbes pronominaux sont logés à la même enseigne (ex : se lever, s’habiller…). Les listes détaillées circulent beaucoup sur les groupes d’entraide, et le critère du déplacement ou du changement d’état reste un repère solide.
Comment bien accorder le participe passé ?
Avoir : accord seulement si le COD est avant. Être : accord systématique avec le sujet. Pour les verbes pronominaux : il vaut mieux identifier la place et le rôle du pronom, car c’est lui qui influe sur l’accord. Certaines plateformes proposent d’ailleurs des simulateurs d’accord en ligne, très utilisés pour réviser sans stress.
Où trouver d’autres exercices ou supports ?
Scribbr, Alloprof, OQLF ou Sherpas publient régulièrement des fiches de révision ou des mini-simulateurs – mis à jour toute l’année, et notés entre 3,9 et 4,9/5 d’après les retours étudiants. On peut supposer qu’une semaine d’essai sans engagement suffit régulièrement pour sélectionner ses outils préférés.
Preuve sociale : des milliers d’étudiants rassurés
En pratique, les statistiques parlent d’elles-mêmes : +4,36 points de moyenne grâce à un suivi personnalisé (source : Sherpas) et 230 avis pour une note de 3,9/5 sur MyMaxicours. Alors, prêt(e) à vous lancer dans le plus-que-parfait vous aussi ? Parfois, il suffit d’une session pour sentir la vague d’assurance arriver !