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Photos de 25 bosses sas : vivez le circuit des Trois Pignons en images

Sommaire

Marcher sur le circuit des 25 bosses, c’est s’offrir une immersion rare où chaque rocher, chaque pinède, chaque panorama devient tour à tour défi et source d’émerveillement. Que l’on parte en famille, entre amis ou seul, l’aventure se prépare bien en amont de la première montée : choisir son tracé, anticiper les astuces utiles, respecter le site… autant d’étapes qui donnent du sel à cette expérience hors du commun.

Voici ce qu’on peut retenir de ce terrain d’émotions : conseils concrets, images parlantes, passion sans détour pour ces reliefs qui forgent la réputation de la forêt de Fontainebleau. Certains habitués confient que même après plusieurs passages, ils ne s’en lassent pastant l’intensité du plein air ici rime avec respect de l’environnement, faune comprise.

Résumé des points clés

  • ✅ Le circuit des 25 bosses offre un parcours riche en défis et émerveillements naturels.
  • ✅ La préparation inclut le choix du tracé, les astuces pratiques et le respect du site.
  • ✅ L’intensité du plein air se conjugue avec une forte conscience environnementale.

Découvrez le circuit des 25 bosses en images : visualisez avant de vous lancer

randonneurs rochers sous-bois circuit 25 bosses

Vous cherchez un aperçu vivant et vraiment parlant du fameux circuit des 25 bosses ? Ce guide rassemble une galerie immersive avec des conseils pratiques et tous les points-clés pour ressentir l’esprit du parcours avant même de chausser les baskets. On y perçoit l’ambiance, la technicité du terrain et des repères utiles : un bon moyen d’anticiper votre propre aventure.

Une formatrice locale soufflait récemment que préparer son regard, c’est déjà franchir une partie du chemin.

Aperçu rapide en chiffres et photos clés

Le circuit des 25 bosses forme une boucle de 17 km au cœur de la forêt de Fontainebleau et totalise près de 850 m de dénivelé positif ; mieux vaut compter 6 à 8 heures de marche (3 à 4 heures pour les trailers entraînés). Les variantes Diplodocus et Belvédère permettent d’allonger ou de raccourcir selon vos envies, à chacun sa dose d’effort.

Dès la première poignée de clichés, on devine ce qui attend les marcheurs : crêtes, bosquets de pins, panoramas et sous-bois, tout s’alterne l’occasion de réconcilier effort physique et déconnexion aux portes de Paris.

Certaines personnes décrivent le moment où l’on grimpe la première bosse, la roche légèrement tiède sous le pied, le cœur qui s’accélère, et cette trouée dans la canopée qui dévoile soudain un panorama inattendu : d’une image à l’autre, le dépaysement opère.

Présentation générale du circuit et de ses variantes : choisissez votre aventure

Le circuit des 25 bosses séduit les amateurs de randonnée et de trail désireux de s’essayer à l’un des sentiers les plus dynamiques et techniques de l’Île-de-France. Chaque année, il attire randonneurs et trailers, venus tester leur endurance sur cette succession de petites montagnes qui ne laisse personne indifférent.

Décrypter le circuit principal et ses déclinaisons

Le tracé historique, surnommé « circuit Potala », déroule ses environ 17 km pour 800 à 850 m de dénivelé positif sur une boucle jalonnée de points rouges. Pas de temps mort, chaque “bosse” réserve un petit défi : sauts faciles, descentes abruptes, crêtes exposées… Les mollets ont du mal à masquer leurs émotions (ça fait sourire, ou ça râle discrètement selon la météo du jour !).

Un professionnel évoquait durant un parcours que c’est un « laboratoire à sensations » unique en son genre.

Pour une entrée en douceur, la variante courte affiche 14 km et 650 m D+, sur un chemin plus direct (parfait pour une famille sportive ou une virée express). On croise aussi des amateurs qui prolongent le plaisir en testant la version Diplodocus (25 bosses + variantes éloignées), voire le tracé Belvédère : jusqu’à 35 bosses, 26 km et 1100 m D+ pour les plus mordus.

On retient régulièrement :

  • Boucle Potala (classique) : 17 km, ~850 m D+, 6-8h en rando
  • Variante courte : 14 km, 650 m D+
  • Version longue (35 bosses) : 26 km, 1100 m D+, 8-10h

Les temps donnés concernent un randonneur standard, pauses incluses (certains apprécient de flâner ou de multiplier les clichés, donc anticipez large !). On constate souvent que les traileurs confirmés avalent la boucle en 2 à 3 heures, mais la majorité préfère modérer l’allure pour profiter des crêtes et de l’ambiance unique.

Quel circuit pour quel profil ?

Les profils se croisent et se complètent sur les bosses : du jeune couple testant ses limites, aux groupes en quête de records, familles avec enfants de plus de 10-12 ans, photographes inspirés ou trailers en préparation marathon… chacun ajuste le parcours selon son niveau et son envie du jour.

Certains promeneurs optent pour un aller simple sur les premières bosses, d’autres filent sur la boucle longue, façon expédition.

À avoir en tête : certaines portions réclament une vraie vigilance (rochers, petites escalades), donc mieux vaut éviter d’y emmener les tout-petits et prévoir d’adapter l’itinéraire en fonction de la fatigue.

Est-ce vraiment faisable pour tous ? Beaucoup recommandent un départ matinal pour profiter de la lumière dorée sur le relief, et quelques pauses contemplatives sur les belvédères… Des souvenirs marquants pour tous âges.

Galerie photos immersive : le circuit comme si vous y étiez

Avancer dans le parcours, c’est dérouler un album grandeur nature : du départ tracé sur le sable dense jusqu’aux crêtes impressionnantes, pour finir dans la forêt profonde qui veille sur les dernières bosses. Plusieurs personnes repartent avec bien plus de clichés que prévu.

Séquence de la boucle en visuels : repères et sensations

Tout commence fréquemment au parking de la Croix Saint-Jérôme : le sentier s’insinue entre les pins pour aborder sans attendre les premiers reliefs rocheux. Quelques jalons visuels valent qu’on s’y arrête…

  • Départ (Croix Saint-Jérôme) : large allée blanche, relief de bruyère, jeux de lumière matinaux.
  • Premières bosses (1 à 5) : alternance entre pins et chaos rocheux, points de vue sur la cime des arbres.
  • Bosse du Potala (n°6-7) : dalle blanche, ambiance légèrement lunaire ; panorama à perte de vue sur la canopée.
  • Milieu de boucle : pentes plus accusées, passages “escalade” ludiques, étendues de grès où l’on surprend parfois un lézard qui se chauffe au soleil.
  • Bosses 16-20 : ambiance plus en retrait, jeu de crêtes et descentes sableuses (à noter : attention, certains coincent ici le genou ou perdent une semelle !).
  • Final (bosses 21-25) : immersion en forêt dense, tapis de mousses, puis dernier faux-plat sur le plateauon voit se dessiner les sourires du dimanche et la satisfaction d’un pique-nique bien mérité.

Un conseil, glané auprès d’un passionné du massif : ne ratez pas la Bosse du Diplodocus, ce rocher qui, à la lumière basse, ressemble à s’y méprendre à un animal du passé. Certains en font même leur photo de profil !

Focus sur les passages techniques : anticipez vos défis

Détaillez les photos et observez bien les obstacles remarquables : dalles en pente, pierriers, escaliers naturels où même le sac à dos proteste un peu… Si l’exposition vous inquiète, ciblez les itinéraires de contournement (mentionnés sur la carte IGN ou sur de bonnes traces GPX).

La lumière métamorphose les rochers à chaque saison : hiver blanchi façon aquarelle, printemps éclatant, automne flamboyantrare terrain de jeu pour les amoureux de photographie.

Un promeneur racontait avoir croisé un chevreuil bondissant sur fond de brume matinale, scène improbable qui confirme que le site réserve chaque fois son lot de surprises. (Rassurez-vous, même sans chevreuil, le sauvage n’est jamais bien loin.)

Bon à savoir

Je vous recommande d’étudier attentivement les photos et les passages techniques avant de partir, afin d’anticiper les zones plus exigeantes et de choisir des itinéraires de contournement si nécessaire.

Conseils pratiques, sécurité et bons réflexes avant de partir

Se lancer sur les 25 bosses évoque le petit stress d’un plongeon à marée haute : mieux vaut anticiper l’essentiel pour vivre l’expérience sereinement, sans désagrément à l’horizon.

Matériel et préparation indispensable

L’essentiel à prévoir se décline ainsi : bonnes chaussures (semelle trail ou randonnée robuste préférable), minimum 2 litres d’eau (aucune fontaine sur la boucle), ravitaillements adaptés, coupe-vent, et une carte IGN/trace GPX à jour. Les bâtons sont utiles si vos genoux protestent à la montée.

Pour la tranquillité, mieux vaut choisir une météo stable et prévenir un ou deux proches. Les roches deviennent soudain traîtres après la pluie ; de fins gants peuvent protéger des griffures.

Un GPS, ou si besoin une trace lisible sur mobile, aide à garder l’orientation quand la fatigue floute les repères. De nombreux groupes se trompent et explorent une bosse de trop par distraction… Certains racontent finir par connaître un randonneur croisé trois fois dans la même matinée !

Points de vigilance pour chaque profil

En famille, assurez-vous que tous les participants tiennent la distance (comptez 5 à 7 heures sur sentier accidenté). Les tout-petits s’ennuieraient et pourraient se décourager. Les chiens sont tolérés, sous réserve d’être bien attachés sur la majeure partie du tracé.

Si vous êtes traileur, testez la boucle courte avant de foncer sur la version longue ; la moindre inattention peut coûter cher sur un passage rocheux. La chaleur estivale ajoute au défi, surtout sous le couvert végétal où l’humidité piégera vite vos réserves d’eau.

Il vaut la peine de retenir ceci : on conseille souvent de rester sur la boucle Potala si le temps manque ou si l’énergie décroît, plutôt que de tenter la Diplodocus au risque de finir de nuit. Plusieurs guides mettent d’ailleurs ce point en avant.

Préparation avancée, outils et ressources à télécharger

Rien ne remplace l’anticipation si l’on veut transformer les 25 bosses en vraie évasionet pas en tracas logistique.

Outils et fichiers utiles pour s’orienter et planifier

Avant de partir, mieux vaut réunir :

  • Trace GPX fiable (« 25 bosses Potala », Diplodocus, Belvédère…)
  • Carte IGN 1/25000 (massif des Trois Pignons, réf : Top25 2417OT)
  • Guide papier spécialisé : budget de 8,80 à 17,90 € (souvent autour de 11 € en promo selon la saison)

On recommande généralement de s’appuyer sur :

Si le papier a encore vos faveurs, les topo-guides FFR ou brochures locales s’attrapent à l’office de tourisme ou sur le circuit. Certains aficionados aiment annoter leur parcours à la main, histoire de garder un souvenir unique.

Comment venir, où se garer et FAQ logistique

Le parking principal, Croix Saint-Jérôme (départ du circuit Potala), affiche complet dès 9 h les week-ends ensoleillés : arrivez tôt pour éviter de tourner en rond.

Depuis Paris, comptez 50 à 60 minutes en voiture, ou gare de Milly-la-Forêt suivie d’un taxi, vélo ou randonnée d’approche.

À anticiper : en transports en commun, prévoyez un horaire large pour le retour, surtout si la fatigue se fait ressentir en fin d’après-midi. (Le dernier RER part à l’heure, même pour les vaillants.)

Astuce du terrain : nombreux sont ceux qui cherchent à raccorder Potala et Diplodocus. Les guides papiers et traces GPX mettent en avant ces variantes préconisées par niveau et forme du jour, testez celle qui vous inspire.

FAQ et leçons apprises : ce qu’il faut savoir pour réussir sa sortie

Parce que chaque marcheur revient chargé d’anecdotes et d’enseignements, voici quelques réponses aux questions fréquemment posées, glanées au fil des kilomètres… et quelques recommandations approuvées sur sentier.

Quelle est la plus grande difficulté ? Peut-on se perdre malgré le balisage ?

Le balisage rouge existe mais se fait oublier sur certains segments privés ou à l’intersection de petites pistes secondaires ; la prudence veut donc qu’on emporte un GPS ou une carte détaillée. L’erreur fréquente ? Suivre sans réfléchir un autre groupe… et zapper une bosse sans s’en rendre compte.

Combien de temps prévoir vraiment ?

Pour la randonnée, prévoyez approximativement 7 heures en incluant les pauses, et pour le trail, 3 à 4 heures pour un niveau solide, 2 heures pour ceux qui filent. L’expérience montre que prendre une marge est une bonne idée, surtout en cas de chaleur ou de terrain humide.

Quel équipement privilégier pour l’authenticité du parcours ?

On remarque généralement que le plus important, c’est un état d’esprit ouvert, une paire de chaussures fiables et un appareil photo chargé, bien avant la vitesse ou la marque des équipements.

Emportez systématiquement un petit sac pour redescendre vos déchets : préserver ce biotope rare compte autant que la performance.

Des conseils concrets pour la sécurité et l’organisation ?

Mieux vaut éviter les départs tardifs (notamment hors saison), privilégiez la marche en groupe, et fixez-vous des points de ralliement réguliers. Un sifflet ou un téléphone chargé peut vraiment dépanner en cas de souci imprévu. On entend régulièrement que mieux vaut prévenir que guérir, le circuit en est la parfaite illustration.

Dernier point à noter : n’entrez pas trop dans la comparaison. Le circuit des Trois Pignons réserve à chacun ses apprentissages, ses encouragements parfois intimes, et ses histoires de bosses ! Belle aventure à vous, et n’hésitez pas à faire vivre la communauté en partageant vos souvenirscertaines anecdotes alimentent depuis longtemps les soirées autour du massif.

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